July 15, 2013 -
PRLog -- Vilvorde, le 15 juillet 2013 –D'apr&
egrave;s une nouvelle étude en ligne mandaté
e par Ricoh (http://thoughtleadership.ricoh-
europe.com/befr/
change-making-
cio/?utm_source=
corporate&
utm_medium=news&utm_campaign=
ChangeMakingCIO)[
1], les dirigeants des entreprises europé
ennes ne sont pas encore totalement équip&
eacute;s pour vivre à l'âge numérique, puisque 63% d'entre eux affirment ne pas être prêts pour une véritable transformation numérique.Cette étude révè
le également que si dans leur majorité
les chefs d'entreprise (83%) estiment que les CIO (directeurs des systè
mes d’information)
disposent des ressources nécessaires pour réussir la transformation numérique, ils n’ont pas l’autonomie requise pour modifier les activité
s critiques de la croissance. Par exemple, les chefs d'entreprise estiment que l'optimisation des processus critiques est la plus importante des activité
s, ayant l'impact positif le plus important sur la croissance de l'entreprise. Néanmoins, les CIO déclarent ne pas être en mesure de la changer, puisque seulement 9% d'entre eux considè
rent avoir l'autonomie suffisante dans ce domaine.
D'aprè
s cette étude, les CIO peuvent résolument s'engager et contribuer à façonner la straté
gie numérique et la croissance de l'entreprise, s'ils béné
ficient d'une meilleure autonomie. D'aprè
s les chefs d'entreprise, les trois attributs clés des meilleurs CIO sont :
1) une expérience du marketing, 2) un savoir-faire avancé
en technologie,3)
un savoir-faire avancé
dans l'optimisation des processus critiques.
Pourtant, peu de répondants ont déclar&
eacute; que le directeur technique avait réellement la capacité
de modifier les élé
ments correspondants de la straté
gie numérique, tels que l'engagement des clients (seulement 13%) et la chaîne d'approvisionnement (seulement 14%).
Actuellement, les projets de transformation numérique sont principalement dirigé
s par les CTO (directeurs techniques) ou les CIO (43%), ou encore les directeurs géné
raux (30%). Cependant, lorsque la question porte spécifiquement sur les CIO, les répondants indiquent qu'ils sont effectivement dirigeants dans seulement 21% des entreprises. En outre, seulement 46% des chefs d'entreprise interrogé
s ont indiqué
que leur CIO siégeait au conseil.
Eric Gryson, CEO de Ricoh Belgium & Luxembourg a déclar&
eacute; : « Les résultats de l'étude démontrent que la majorité
des entreprises est encore au Moyen-â
ge numérique et qu'elles ne sont pas encore prêtes pour la transformation numérique. Pendant la période où un plus grand nombre de changements technologiques sera nécessaire, les entreprises devront pouvoir s'adapter rapidement aux nouvelles demandes des clients, aux conditions économiques et pour préserver leur avantage concurrentiel. Pour résoudre les challenges liés à ces changements, la direction des technologies de l'information ne doit plus rester en position d'appui. Les CIO doivent pouvoir influencer les modèles commerciaux, les interactions avec les clients et la productivit&
eacute; des employé
s.
En commenç
ant par les processus critiques (qui ont plus d'influence que toute autre activité
sur la croissance de l'entreprise d'aprè
s les répondants)
, les CIO peuvent combiner le savoir-faire technologique et l'expé
rience commerciale pour évaluer et faire évoluer les méthodes de travail traditionnelles. Les avantages obtenus dépasseront largement les seules réductions de coûts. L'entreprise pourra progresser grâce à un modèle d'exploitation plus productif et plus agile, où le partage des connaissances du personnel sera renforcé
et autorisera dès lors une meilleure réactivit&
eacute; face aux besoins des clients. À long terme, grâce à ces robustes fondations, le CIO pourra se concentrer sur les cœurs de métier et diriger l'organisation vers un avenir numérique porteur d'une forte croissance ».
[1]Étude réalis&
eacute;e par Coleman Parkes Research, mai-juin 2013